Et tu me déclarais,
J'ai si peur de te perdre !
Ô zone de mes rêves enfouis,
Que sont devenus le jasmin et la rose de juillet ?
Tu me disais,
Je serais là pour toi,
Et te voilà disparue,
Ton souvenir se dissout comme la rosée au matin.
Fragile, je demeure
Comme le murmure de ton ombre,
Et dans le creux de mon être,
Le silence de ta présence se fait.
Reste la mémoire de nos rêves,
Qui tisse le sommeil de mes nuits.
Ô zone de mes rêves enfouis,
Demeure un instant encore,
J'ai si peur de te perdre.